[align=center]Les contrôleurs SNCF poursuivent leur grève le week-end dans la région d'Annemasse (Haute-Savoie)[/align]
Depuis mi-avril, les week-ends passent et se ressemblent sur les rails en Haute-Savoie. Les contrôleurs SNCF observent une grève. Ces agents disent travailler la peur au ventre en raison des agressions notamment entre La Roche-sur-Foron et Saint-Gervais mais aussi entre le Chablais et le Genevois.
Reportage. Des passagers agressés, des contrôleurs insultés, rien ne va plus depuis des mois dans la région ferroviaire d'Annemasse. Du coup, les agents se mettent en grève chaque week-end. Les contrôleurs demandent à être deux dans les trains sensibles, réclament aussi des formations pour savoir "comment s'y prendre", voire imaginent des policiers.
Depuis le début de "la crise", ils ont été entendus sur un point, une présence régulière dans les gares. Ainsi, des équipes de trois personnes vérifient régulièrement les billets et observent le comportement des voyageurs les plus agités. Les contrôleurs notent une avancée, mais ce n'est pas encore assez. "La sécurité, c'est tabou dans notre entreprise", explique un agent désabusé.
[align=CENTER]Les contrôleurs SNCF poursuivent leur grève le week-end dans la région d'Annemasse (Haute-Savoie)[/align]
Depuis mi-avril, les week-ends passent et se ressemblent sur les rails en Haute-Savoie. Les contrôleurs SNCF observent une grève. Ces agents disent travailler la peur au ventre en raison des agressions notamment entre La Roche-sur-Foron et Saint-Gervais mais aussi entre le Chablais et le Genevois.
Reportage. Des passagers agressés, des contrôleurs insultés, rien ne va plus depuis des mois dans la région ferroviaire d'Annemasse. Du coup, les agents se mettent en grève chaque week-end. Les contrôleurs demandent à être deux dans les trains sensibles, réclament aussi des formations pour savoir "comment s'y prendre", voire imaginent des policiers.
Depuis le début de "la crise", ils ont été entendus sur un point, une présence régulière dans les gares. Ainsi, des équipes de trois personnes vérifient régulièrement les billets et observent le comportement des voyageurs les plus agités. Les contrôleurs notent une avancée, mais ce n'est pas encore assez. "La sécurité, c'est tabou dans notre entreprise", explique un agent désabusé.
[align=center]Rhône-Alpes : les contrôleurs de nouveau en grève à partir de vendredi soir[/align]
Les perturbations seront toutefois limitées du côté de la région lyonnaise.
Depuis trois week-end maintenant, les contrôleurs sont appelés à cesser le travail à l'appel de SUD-Rail et de la CGT. Les causes de ce mouvement social restent les mêmes : "un travail hors réglementation imposé aux contrôleurs par la direction". Déjà la semaine dernière, les deux syndicats avaient alerté sur le sujet estimant que si la direction refusait de négocier, ils en appelleraient à l'intervention du Conseil Régional. En ce week-end de Pentecôte, les perturbations seront minimes du côté de Lyon. Elles seront plus présentes du côté de la Haute-Savoie. Les usagers sont invités à se renseigner sur le http://www.ter-sncf.com ou par téléphone au 3635. Le mouvement prendra fin lundi midi.
[align=center]Vol de câbles : retour à la normale sur la ligne TGV Lyon-Paris, les TER restent impactés[/align]
La circulation a repris aux alentours de 9h30 mardi matin.
Elle était perturbée depuis plusieurs heures, suite à un vol de câbles à Montanay, près de Neuville-sur-Saône, au nord de Lyon. En revanche, le trafic reste difficile sur la ligne TER entre Lyon Part-Dieu et Villars-les-Dombes. Comptez entre 20 et 40 minutes de retard. Certains trains empruntent un autre itinéraire afin de contourner l'incident. Les équipes de maintenance sont sur place. Le retour à la normale n'est pas prévu avant midi.
Les gares de Villefranche-sur-Saône et de Belleville-sur-Saône, les deux plus importantes de l’axe TER Lyon-Mâcon, viennent de se voir livrer, en ce début de semaine, d’importants aménagements.
"Le conseil régional achève aujourd’hui un long travail de rénovation des gares de l’axe Lyon-Mâcon. Le pôle multimodal de Villefranche-sur-Saône est emblématique des profondes requalifications conduites ces dernières années sur les gares de villes moyennes, dans un contexte très urbanisé, et celui de Belleville-sur-Saône sur les gares de périphérie des grandes agglomérations soumises à des enjeux de rabattement", a déclaré Jean-Jack Queyranne, président de la région Rhône-Alpes, à l’issue des deux inaugurations.
Ainsi, sur la gare de Belleville, 405 places de stationnement ont été créées en lieu et place de celles qui s’étaient organisées sur le parvis. Celui-ci a été reconverti en un espace de rencontre réservé aux piétons et aux modes doux. Une consigne collective de 48 places, pour les deux roues, a été mise en place à proximité du bâtiment voyageurs. Le passage souterrain qui relie Belleville à Saint-Jean d’Ardières a été réaménagé et mis aux normes pour les personnes à mobilité réduite. Divers autres aménagements ont été réalisés en vue d’améliorer l’environnement, l’agrément et la sécurité des lieux. Le montant de l’investissement global s’élève à plus de quatre millions d’euros.
Il a été supporté par la communauté de Commune de Belleville-sur-Saône à hauteur de 1,8 million d’euros (dont 1,2 en provenance du département du Rhône), à hauteur de 1,9 million par le conseil régional et de 0,4 million par la SNCF. La fréquentation de cette gare augmente de manière constante et régulière (+ 8% en 2012 par rapport à 2011), 52 trains la desservent quotidiennement pour une moyenne de 2770 voyageurs par jour.
A Villefranche-sur-Saône aussi
Quelques kilomètres au sud, la gare de Villefranche-sur-Saône a été elle aussi profondément rénovée, avec la création d’une véritable connexion entre les gares ferroviaires et routières. Pour les transports en commun, des voies en site propre et des arrêts de bus ont été créés ainsi que des zones pour la dépose-minute et les taxis. Trois cents places de stationnement ont été aménagées et, pour les vélos, une consigne collective intérieure de 96 emplacements a vu le jour. L’ensemble des opérations de requalification s’est élevé à 8,3 millions d’euros. Rhône-Alpes a participé à hauteur de 36%, la Ville à 21%, RFF et la SNCF à 19%, l’Etat à 16%... Cette gare, qui est le terminus des liaisons périurbaines du nord de Lyon, est desservie quotidiennement par 89 trains. Sa fréquentation croît elle aussi de façon régulière, atteignant 6600 voyageurs par jour en moyenne. Quant à l’axe TER Lyon-Mâcon, il représente 14 500 voyageurs par jour sur une dizaine de gares.
3 000 CARTES DE REDUCTION TER illico LIBERTE à 20€
Jusqu'au 16 juillet 2013, 3 000 cartes de réduction TER illico LIBERTE sont exceptionnellement mises en vente à 20€ au lieu de 40€.
Cette carte de réduction vous permet de voyager, durant un an, à petits prix avec TER Rhône-Alpes :
- 50% de réduction* le week-end pour vous et jusqu'à 3 accompagnants
- 25% de réduction* en semaine pour vous
[align=center]Un TER spécial pour "Jazz à Vienne"[/align]
A partir du 28 juin et jusqu’au13 juillet prochain, les spectateurs de "Jazz à Vienne", l’un des plus importants festivals de jazz en Europe, bénéficieront d’un TER spécial, pour leur retour à Lyon, avec des conditions tarifaires avantageuses.
Les années précédentes, un accord avec la SNCF existait déjà depuis les gares lyonnaises et portait sur un aller en train avec un retour en navette routière, après les spectacles. Un système qui a fait ses preuves mais qui, cette année, aura un prolongement ferroviaire avec la mise en service d’un TER spécial à l’issu des spectacles : "il s’agit d’une décision conjointe, découlant de la démarche éco-responsable du festival et appuyée par nos partenaires, le conseil régional Rhône-Alpes et la direction régionale de la SNCF", explique Florie Charnay, porte-parole de "Jazz à Vienne". Il faut dire que ce festival réunit bon an mal an autour de 150000 spectateurs, dont 80% arrivent de Rhône-Alpes et pour une grande partie de l’agglomération lyonnaise. Le Théâtre Antique de Vienne, l‘un des plus vastes de l’Hexagone, avec 7500 places, est situé dans une zone fort contrainte en matière d’accès, de stationnement, de circulation… Mais il se trouve à moins de dix minutes à pied de la gare TER de Vienne. C’est donc une véritable opportunité pour les festivaliers qui pourront, en moins de vingt minutes, rallier depuis Vienne, les deux gares lyonnaises de Lyon-Jean Macé et de Lyon-Perrache. "Quelle que soit l’heure de la fin ses spectacles, le TER partira environ trente minutes après, de façon à laisser les spectateurs regagner la gare", ajoute Florie Charnay. De plus, sur présentation de leur billet d’entrée, ils auront accès au tarif "Illico Événements", soit 50% de réduction sur le tarif normal. Pour le trajet aller, ils pourront utiliser l’ensemble de l’offre TER classique mise en place par la SNCF au départ des gares de Lyon Part-Dieu, Lyon-Perrache et Lyon Jean-Macé.
GRATUIT pour les enfants de moins de 12 ans accompagnés d'un adulte.
40% DE RÉDUCTION sur le tarif normal pour les autres (personnes agées de plus de 12ans).
Tarif TER illico VACANCES valable de 2 à 5 personnes.
En vente du 13 juillet au 1er septembre 2013 pour des voyages compris dans cette période.
Quelques idées de destinations pour vous évader en Rhône-Alpes :
Tarifs tenant compte des - 40 % de réduction sur le tarif normal (2ème classe)
- Chamonix > Annecy (143 km) : 14€,
- Lyon Part-Dieu> Annecy (160 km) : 15,5€,
- Valence > Montelimar (45 km) : 5,3€,
- St-Etienne Chateaucreux > Montbrison (33 km) : 4,2€,
- Annemasse > Evian les bains (39 km) : 4,8€,
- Lyon Part-Dieu > Grenoble (129 km) : 12,8€,
- Chambéry > Aix les bains (14 km) : 2,1€,
- Lyon Part-Dieu> Genève Voyageurs (168 km) : 16,1€.
Madame la Vice-Présidente,
nous avons constaté à maintes reprises que de nombreux TER n’apparaissent pas sur les distributeurs de billets ni lors de l’achat de billets au guichet ou en ligne. La SNCF en effet a pris l’habitude de faire disparaître certains services des horaires proposés dès qu’il y a une crainte de surcharge. Certains de nos adhérents l’ont observé pour les trains entre Grenoble et Genève. Le résultat est l’absence apparente de service pendant de longues plages horaires.
Il arrive même que cela se produise des jours où les trains sont assez peu remplis. Ainsi, le dimanche 2 juin 2013 à 11h30, le distributeur de billets Grandes Lignes DAGOBER n’indiquait aucun des TER directs permettant d’aller de Annecy à Gières l’après-midi. Pourtant, ces TER circulaient bien, et celui partant de Annecy à 17h37 est resté peu rempli. La SNCF n’a semble-t-il pas pris en compte que la plupart des étudiants était déjà en vacances à cette période de l’année.
On retrouve une situation comparable sur les cars de substitution entre Grenoble et Valence TGV. Du lundi au jeudi, ces cars sont trop rares, on est loin de la fréquence offerte par les trains et de l’iso-fonctionnalité affichée. Trop souvent, le voyageur a le choix entre une longue attente à Valence TGV, une correspondance supplémentaire à Moirans, Saint-Marcellin ou Moirans, ou à un détour par Lyon, ce qui dans tous les cas allonge d’une heure son trajet. Du vendredi au dimanche, les cars de substitution sont plus nombreux, mais comme la capacité reste insuffisante, la SNCF limite la demande en faisant disparaître les services les plus demandés.
Ainsi, le jeudi 08 mars, il n’était plus possible de prendre un billet Grenoble - Sète pour le vendredi 09 mars en partant après 12h45. Et il était impossible de revenir le dimanche 11 mars entre 10h05 et 22h25 sans passer par Lyon ! Cette situation n’est pas isolée, certains de nos adhérents l’ont observée pendant toutes les vacances d’hiver et aussi aux vacances de printemps.
Nous demandons que la Région et la SNCF adaptent la capacité à la demande au lieu de dissuader la demande en masquant l’offre. Sur les trains, une surcharge modérée est acceptable. Sur les autocars, où la capacité est limitée par le nombre de places assises, la seule solution est de renforcer l’offre. En dehors des samedis en période de vacances d’hiver, il doit être possible de trouver des autocars disponibles.
[align=center]Des bus vont remplacer les trains sur l'axe Clermont-Thiers-St-Etienne-Châteaucreux du 22 juillet au 30 août[/align]
Selon la SNCF, un chantier nécessite une coupure des lignes à la circulation commerciale du 22 juillet au 30 août sur l’axe Clermont-Ferrand/Thiers/Saint-Etienne-Châteaucreux. Il s’agit de travaux de renouvellement de voies, de remplacement de traverses et de rénovation d'ouvrages. Les conséquences sur l’organisation des circulations ferroviaires sont les suivantes : - Clermont-Ferrand/Thiers/Saint-Etienne-Châteaucreux : entre Pont de Dore - Thiers et Pont de Dore - Montbrison, un service de substitution par autocars sera déployé afin de remplacer les trains supprimés sur tout ou partie de leur parcours. Le plan de transport sera adapté sur la partie Clermont-Pont de Dore. Pour cette opération, SNCF renforcera la présence de ses agents auprès de la clientèle dans lesgares concernées. La clientèle est invitée à se renseigner pour préparer son voyage en appelant au TER Auvergne 0 969 363 968 Site Internet : http://www.ter-sncf.com ou http://www.sncf.com
[align=center]BRISON-SAINT-INNOCENT| Des travaux à la pelle durant l'été sur les bords du lac[/align]
Le chantier du pont de Chatillon, au nord du lac, entraînera une interruption du trafic ferroviaire du 15 au 18 août
Depuis juin, plusieurs campagnes de travaux ont débuté à Brison-les-Oliviers : le pont ferroviaire en construction et l'adduction d'eau potable.
Le pont ferroviaire est en cours de réalisation par l'entreprise Maïa Sonnier de Lyon, spécialisée dans ce genre d'ouvrage. C'est cette entreprise qui a remplacé le pont ferroviaire qui enjambe le Rhône à Culoz.
Ce chantier, au niveau du petit port de Brison, est destiné au remplacement du pont ferroviaire de Chatillon au nord du lac. Ces travaux s'inscrivent dans le cadre du programme de régénération des Ouvrages d'art métalliques anciens (plus de 100 ans), qui vise à réduire à terme les opérations de maintenance importantes.
Comme ce pont n'est pas accessible par la route, la SNCF a réservé le parking du bord du lac pour l'assemblage des pièces métalliques et la confection des parties bétonnées. Une fois l'ouvrage réalisé, il sera acheminé à Chatillon par barges pour le remplacement de l'ancien pont usagé. Le trafic ferroviaire sera interrompu du 15 au 18 août prochain.
Lyonrail a écrit :Et pour compléter la liste, certains TER Bourg-Lyon seront origine ou terminus Lyon Part Dieu au lieu de Perrache entre les 16 et 28 septembre prochains
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/Bourg_-_Lyon_16_et_17_sept_tcm-31-91884.pdf
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/Bourg_-_Lyon_18_au_28_sept_tcm-31-91885.pdf
[align=center]Chanas Le nouveau pont-rail va être mis en place sur la RD1082[/align]
Construit sur le bas-côté, le nouveau pont-rail va être transposé à cheval entre Chanas et Sablons, dans la nuit de jeudi à vendredi. L’opération va entraîner d’importantes difficultés sur la voix ferroviaire et l’axe routier.
La SNCF et le conseil général de l’Isère prévoient d’importantes perturbations sur l’axe ferroviaire Vienne-Marseille à partir de jeudi. Les trains de la ligne 5 circuleront uniquement sur la rive droite du Rhône. Ils desserviront Saint-Péray (Ardèche) au lieu de Valence et Le Teil au lieu de Montélimar. Un service de car assurera les correspondances.
RD1082 fermée et trains déviés
Le trafic reviendra à la normale dimanche à partir de 14 heures. En cette période creuse du 15 août, la gêne devrait être minime. Toutefois, les usagers sont invités à se renseigner dans les gares ou sur le site internet TER Rhône-Alpes. La cause de ces perturbations est la mise en place du nouveau pont-rail sur la RD1082, à cheval entre Chanas et Sablons.
Construit sur le bas-côté, le pont va être déplacé sur son emplacement définitif dans la nuit de jeudi à vendredi. Une opération de grande envergure qui va également entraîner d’importantes difficultés de circulation sur l’axe routier puisque la RD1082 sera fermée dans les deux sens à partir de jeudi. Mais contrairement à la voix ferroviaire, la RD1082 ne rouvrira pas avant vendredi 23 août. « Après la mise en place du pont, il va falloir procéder aux travaux de réseaux », précise Cédric Chabert, chef du service aménagement du conseil général de l’Isère, pour justifier cette prolongation.
Au début du projet, la fin des travaux avait été annoncée pour le premier semestre 2014. « Il est difficile de donner une date précise car les intempéries de l’hiver retarderont sûrement l’échéance », ajoute Cédric Chabert. Les travaux ont débuté en mars dernier. Ils vont permettre de sécuriser davantage cet axe routier, où le trafic se fait de plus en plus dense. Le gabarit du nouveau pont, plus large, va permettre à deux poids lourds de se croiser aisément. Rappelons que ce projet a été déclaré d’utilité publique par arrêté préfectoral du 28 septembre 2012.
[align=center]Perturbations entre Avignon et Valence : ce n’est pas fini[/align]
Ce week-end, les TER étaient supprimés entre les gares d’Avignon-centre et Valence-ville. Une interruption de circulation prévue et organisée, depuis jeudi 15 août à 9 heures et jusqu’à ce dimanche, 7 heures du matin. Les retours de week-end pourront donc s’effectuer sans problème.
Rénovation avant la concurrence
Ces trois jours pleins fortement perturbés n’étaient qu’un début : les travaux vont s’enchaîner sur le réseau ferré de France, notamment dans notre région, pour plusieurs raisons.
D’une part, l’important chantier de rénovation dans lequel s’est engagée la SNCF depuis deux ans maintenant, qui vise à se préparer à l’ouverture du marché à la concurrence, en 2019.
D’autre part, les aménagements obligatoires qu’implique la réouverture, fin 2014, de la ligne Avignon-Carpentras et la “virgule” entre Avignon-centre et Avignon TGV. Il s’agit de mettre en place des raccordements et de nouveaux aiguillages. Ce week-end, la gare de Sorgues était d’ailleurs en travaux.
Les perturbations connues ce week-end seront donc reconduites. Et ce « dès le mois prochain, du jeudi 12 septembre à 23 heures au dimanche 15 à 7 heures », explique Patricia Banet, à la communication de la SNCF.
Les “petites” gares impactées
Les mêmes dispositions seront prises pour assurer certains horaires en car. Et le dimanche est épargné. Mais pour les voyageurs “réguliers”, travailleurs ou étudiants, il faudra prendre ses dispositions. Ce sont en réalité toutes les “petites” gares entre les deux grandes villes qui sont impactées : cinq en Vaucluse, trois en Drôme.
Car quelque soit la date choisie, les contraintes sont trop importantes pour ne pas perturber les usagers, même si la communication sur le sujet est mise en avant. « Ce week-end du 15 août a été choisi car il y a très peu de voyageurs réguliers, la plupart des usagers sont des vacanciers, qui vont davantage se tourner vers le TGV », précise-t-on à la communication de la SNCF. En septembre, ça risque d’être différent.
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