@nanar "si on veut conserver un passage à côté des trémies d'escaliers" ce que je ne
veux pas forcément pour le coup. L'idée c'est vraiment : sur le quai, tout le monde descend en bas en priorité, et en bas on réfléchit etc. Ah oui si il faut c'est autre chose
Si c'est impossible de couper le cheminement tout du long,
a) cela empêche à coup sûr un ascenseur de taille acceptable (ceux en place occupent un espace total de 3,5 m si j'arrive à lire dans sur le plan). S'il est obligatoire d'avoir un ascenseur pour l'accessibilité dans ce nouvel aménagement, peut-on arguer du fait que le quai initial voyageur en est doté? Dans ce cas, peut-on
ouvrir les portes des deux côté en même temps sur un TGV ou autres?
b) les escaliers de 2 UVP devront être nombreux pour absorber le flux. Au point ou on en est, si on réserve ces voies pour des dessertes TGV par exemple, pourquoi ne pas arriver à un accés (=escalier) par voiture (ou si statistiquement, tout les matériels roulant ont une même zone ou les portes se positionnent) : schéma :

Et pourquoi pas alors l'utiliser aussi à la montée? On pourrait avoir une gestion dynamique : "Le TGV YYYY arrive en voie X, embarquement par "le quai standard" (ou embarquement par "le quai spécial"). Et ça peut très bien changer au prochain train. On a bien des supers portiques au niveau hall qui permettent de changer de sens : en fonction c'est un quai de descente ou de montée.
@xouxo oui la """"simplicité"""" du principe me semble désarmante en comparaison de ce que ça apporte dans la situation ou de toute façon il n'y a
pas d'autres solutions raisonnables.
oui, pour la structure et puis l'arrivée des accès dans le hall et leur compatibilité avec le matériel roulant (coucou le

à HdV avec les portes à piliers), tout ça pose d'intenses questions de faisabilité. Pour la structure, idem, si ça oblige à tout reprendre, on perd tout l'intérêt de cette hypothèse, qui ira se ranger dans la catégories "solutions irraisonnables".