le 26 a écrit : en refusant le choix d'un métro B prolongé vers Villeurbanne Tonkin et la Doua..
Le problème de la voie unique pouvant être définitivement réglé sans grand travaux, tout simplement en envoyant la ligne A à la Doua (Perrache - Charpennes - Doua), et intégrer le reste de la A à la ligne B (Oullins - Charpennes - La Soie). Les deux lignes n'auraient ainsi pas à se croiser.phili_b a écrit :S'il est clair que l'arrivée en voie unique à Charpennes quasiment parallèle au métro A a bloqué définitivement la progression de la ligne B au nord, à moins de gros travaux, il me semble que la principale raison de la décision de ne pas le construire au Tonkin et à la Doua est son coût puisque c'est un coin qui a été très marécageux, avec donc un sous-sol très difficile à travailler.
Connexxions a écrit :Rappelle moi ce qu'étaient la 26 et la 39 avant l'arrivée du tramway ?
Mais là tu nous donne juste la capacité actuelle voire recommandée en bus mais ce n'est pas le potentiel de la ligne. Par contre moi je peux te dire qu'en 10 ans , les constructions n'ont cessé augmenter dans un rayon de 500m autour de l'axe Salengro et vu aussi les difficultés légendaires de circulation dans ce secteur, cela me fait dire qu'il manque un transport performant sur cet axe.
Marseille est, hélas pour elle, une ville assez pauvre.jgy a écrit :Avec de plus petit investissement, on ce serai retrouvé avec des lignes plus petites et difficilement développable comme à Marseille et leur 2 petites lignes de métro qui ne font que l'hyper-centre-ville ou presque...
Nanar, le tramway que tu as mis en lien me fait penser au RER Parisien dans une mesure peut-être plus limité en distances.
yannick a écrit :Topolino parlait jadis d'avoir eu un réseau tram maillé en surface plutôt qu'un coûteux réseau métro en souterrain.
[..]
Je me pose la question suivante : si un tel réseau tram était possible en surface, je suppose qu'il se serait fait, pour l'essentiel, avec des croisements et embranchements à niveau.
[...]
soit on n'aurait pas pu faire le fameux réseau tram sans un paquet de trémies... à moins qu'on ne soit limite dans les deux cas...
yannick a écrit :... Je me pose la question suivante : si un tel réseau tram était possible en surface, je suppose qu'il se serait fait, pour l'essentiel, avec des croisements et embranchements à niveau.
En quoi un métro en souterrain, avec un PAI, mais avec tous les avantages du métro en termes d'exploitation (site propre intégral ne croisant jamais la circulation générale), pourrait avoir besoin de sauts de mouton là où le tram s'en serait peut être passé ?
(En gros, je pense que soit on peut faire un métro avec cisaillement à niveau, soit on n'aurait pas pu faire le fameux réseau tram sans un paquet de trémies... à moins qu'on ne soit limite dans les deux cas...)
Bref, c'est un peu une question qui demanderait des études poussées pour y répondre, mais avez vous un sentiment là dessus.... ?
phili_b a écrit :...sur l'opportunité de métro en proche périphérie (Vaise, Doua, Lyon 5é, Décines) à cause de son coût et de sa moindre utilisation...
Le mot périphérie vient du grec peripheria qui signifie circonférence. Plus généralement la périphérie désigne une limite éloignée d'un objet ou d'une chose.
Par exemple :
* périphérie d'une ville : quartier extérieurs de la ville ;
Ensemble des quartiers éloignés du centre d'une ville
Pardonpuisque l'évolution du trafic ne devrait pas beaucoup évolué dans l'avenir
nanar a écrit :Ne pas confondre "périphérie" (utilisée à bon escient par phili_b ) avec "banlieue".